Carole Scortegagna, responsable santé, sécurité et conditions de travail pour l’entité Nutrition spécialisée France du groupe Danone

Carole Scortegagna est en charge des sujets santé, sécurité et conditions de travail pour Blédina et Nutricia. Ce qui représente, en tout, environ 1500 personnes, réparties entre le siège de Limonest, une partie du siège parisien pour Nutricia, les forces de ventes, disséminées sur le territoire, et les trois usines de Steenvoorde, Villefranche-sur-Saône et Brive-la-Gaillarde.

Quels sont les défis à relever aujourd’hui dans votre activité ?

Depuis quelques années, nous constatons une baisse globale de l’accidentologie physique, mais nous arrivons à un pallier difficile à surmonter, et ce dans toutes les entités de Danone en France. Nous avons réussi à diminuer le nombre d’accidents du travail graves. Désormais les chutes de plain-pied constituent l’essentiel des accidents sur le lieu de travail. Bien souvent, nous avons remarqué un lien avec la dimension « santé individuelle », ce qui est inédit. Donc notre premier défi est de faire comprendre à chacun que son état de santé peut interférer avec ses conditions de travail et que cela peut entraîner des accidents. Notre deuxième défi concerne les risques psycho-sociaux, notamment la charge mentale, qui se traduit souvent par des troubles musculo-squelettiques. C’est un nouveau type d’accidentologie, qui doit être pris en charge car c’est handicapant et cela induit des arrêts de travail de longue durée.

Comment Work’n Fit vous aide à relever ces défis ?

D’une part, grâce aux prestations de Work’n Fit, l’entreprise montre qu’elle s’intéresse aux salariés en tant qu’individus, qu’elle tient compte de leur état physique personnel, qui est la conséquence du travail mais aussi de leur histoire de vie, et qu’elle leur propose des outils pour prendre soin d’eux. D’autre part, l’approche de Work’n Fit, qui incite les personnes à travailler sur la proprioception, sur l’attention consciente, est très importante pour diminuer les risques de chutes de plain-pied. Work’n Fit fait toujours un lien entre l’activité physique – David Léon (fondateur de Work’n Fit) fait preuve de pédagogie pour expliquer le fonctionnement du corps – et les situations de travail, tout en laissant aux salariés une part d’autonomie et de responsabilisation dans la démarche, et c’est ce qui fait que cela fonctionne.

Quel a été le fait déclencheur qui vous a poussé à faire appel à Work’n Fit ?

Lorsque je travaillais au sein de la société des eaux de Volvic, j’étais en charge de la logistique, donc des caristes, qui conduisent les chariots et qui font toute leur carrière en subissant des vibrations, des torsions, etc. Nous avions constaté une augmentation des inaptitudes et donc un nombre croissant de personnes qu’il était parfois compliqué de reclasser dans l’entreprise. Nous avons eu la volonté de faire de la prévention sur ce type de métiers. Work’n Fit a eu une double approche, à la fois collective (« Quelle est la réalité de votre métier ? Que pouvez-vous faire le matin simplement pour vous préparer à votre journée de travail ? ») et individuelle, presque curative, grâce à des partenariats avec des ostéopathes, qui pouvaient réorienter les personnes vers la prévention une fois que la douleur avait été traitée. Lorsque je suis arrivée chez Blédina, en voyant des situations similaires, ça a été une évidence pour moi de faire appel à Work’n Fit. De plus, chez Blédina, de nombreux prestataires interviennent pour proposer des séances de sport en entreprise. Lorsque j’ai vu la salle de sport, j’ai presque été choquée, car je n’étais plus habituée aux prestataires qui ne proposent que du sport, sans prendre en considération la condition physique de chaque individu, sa situation de travail, etc. Je me suis dit qu’il était impossible de prôner la qualité de vie au travail et la santé de nos collaborateurs en mettant à disposition une salle de sport où on ne fait que du sport. Dans ce cas-là, le seul intérêt en terme de QVT, c’est d’épargner au salarié le trajet jusqu’à la salle de sport. Il était donc essentiel de faire un lien avec les troubles musculo-squelettiques, d’où ma volonté de faire intervenir Work’n Fit.

Aviez-vous des craintes avant l’intervention de Work’n Fit et étaient-elles fondées ?

Ma crainte était que les salariés n’osent pas participer, s’échauffer et s’étirer le matin avant de se mettre au travail. Je redoutais que le regard des autres soit bloquant. Je me disais donc que, si on proposait l’intervention uniquement par ce biais-là, cela ne pourrait pas fonctionner. Mais Work’n Fit a réussi à contourner cet écueil en proposant une approche individuelle afin de donner confiance, de créer une relation interpersonnelle.

Avez-vous apprécié la relation avec les intervenants Work’n Fit ?

J’ai principalement travaillé avec David. Le pragmatisme et le charisme de David expliquent la réussite de Work’n Fit. Partout où il passe, il laisse une empreinte et les gens sont très à l’aise avec lui. Pour avoir testé d’autres prestataires, je trouve qu’il a su trouver le bon dosage entre le côté théorique / pédagogique et la mise en pratique. Certains de ses concurrents veulent trop montrer leurs connaissances techniques, or ce n’est pas ça que les gens viennent chercher.

Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans Work’n Fit ?

Leur agilité. Il y a toujours une réponse rapide et co-construite à une demande, même si ce n’est pas dans leur « catalogue ». Lorsque l’on organise un séminaire avec 1000 personnes et que je demande à David d’intervenir, il trouve des solutions. Ce que j’apprécie le plus, c’est son côté créatif, son envie d’apprendre, de se renouveler, d’être dans la co-construction de solutions plutôt que d’arriver avec des formules toutes faites.

Que feriez-vous si l’on vous enlevait Work’n Fit ?

Je serais triste. Je suis convaincue de la démarche, donc j’essaierai de trouver d’autres partenaires qui ont la même approche… Mais cela serait compliqué, car c’est une relation qui s’est construite dans la durée. Maintenant David connaît bien notre fonctionnement, connaît bien Danone. Les interactions que nous avons dépassent parfois le cadre de ses interventions, car il voit, il capte des choses, il peut proposer du benchmarking aussi, car il intervient dans d’autres entreprises.

Et si vous deviez résumer Work’n Fit en une phrase ?

David. Le charisme de David compte au moins à moitié dans la réussite de l’exercice. Plus sérieusement, Work’n Fit a une démarche très respectueuse de prise en considération des salariés en tant que personnes au sein de l’organisation et, pour le coup, c’est de la véritable prévention. Je pense que le nom « Work’n Fit » est bien trouvé car cela traduit bien l’équilibre qu’il a su trouver entre travail et activité physique. Les collaborateurs nous remercient énormément dans leur feedback de leur « offrir » ces prestations. Ils insistent sur la notion de cadeau que constituent, à leurs yeux, les prestations de David.


Laurent Laporte et Alexandra Pinaud, de la société Braincube

Laurent Laporte, créateur et président de Braincube, pionnière dans l’intelligence artificielle appliquée à l’industrie, fait appel aux coachs de Work’n Fit depuis de nombreuses années. Avec Alexandra Pinaud, responsable RH de Braincube, Laurent Laporte fait un retour d’expérience sur ce long chemin parcouru ensemble.

Quels sont les défis à relever aujourd’hui dans votre activité ?

LL : En terme de management, deux axes nous intéressent. D’une part, la motivation personnelle et/ou de travailler en équipe et, d’autre part, le développement des compétences. En effet, nous pensons que les collaborateurs très engagés dans leur travail et devenant de plus en plus compétents vont devenir de plus en plus autonomes. Or nous avons une organisation qui est basée sur le développement de l’autonomie.

AP : Le management, les RH et la direction sont attachés à la qualité de vie au travail et, pour que les collaborateurs puissent s’épanouir chez Braincube, il faut qu’ils soient bien physiquement et mentalement.

Comment Work’n Fit vous aide à relever ces défis ?

LL : Nous avons rencontré David à l’époque où il travaillait à l’ASM. Il nous a montré qu’il existait des pratiques faciles à mettre en œuvre pendant la journée pour améliorer le bien-être de nos collaborateurs. Il nous a raconté ses expériences auprès d’autres sociétés, comme Volvic par exemple. Et l’essayer, ç’a été l’adopter. Nous avons été très enthousiastes dès le début. On a même créé une petite salle de sport dans nos anciens locaux. Aujourd’hui, nous louons et privatisons une salle de crossfit dans un centre à côté de nos bureaux. Nos collaborateurs adorent. Au départ, c’est donc lui qui nous a montré que cela existait. Nous ne savions pas qu’il existait des exercices à base d’étirement, rouleaux, etc., qui sont très efficaces et qui ne prennent pourtant pas beaucoup de temps. Nous pensions que nos collaborateurs géraient leur condition physique tout seuls. David nous a expliqué que la salle de sport, c’est bien si vous la pratiquez correctement, et qu’il est possible d’aider les gens à s’éduquer et à comprendre leur corps.

AP : Cela vient de David, et nous avons été proactifs sur la démarche. Braincube a mis en place les interventions de Work’n Fit alors qu’il n’y avait pas encore beaucoup de salariés. Nous avons été dans une démarche d’anticipation. Nous avons été concernés par le bien-être de nos collaborateurs pour prévenir leurs plaintes, avant qu’elles n’arrivent.

Aviez-vous des craintes avant l’intervention de Work’n Fit et étaient-elles fondées ?

LL : Nous n’avions pas de crainte parce que David Léon est un professionnel de la préparation physique, et parce que nous l’avons vu en exercice avec une équipe professionnelle de rugby. En le voyant travailler, nous avons compris ce qu’était l’exigence du haut niveau et aussi le niveau de connaissances de David. Quand j’ai été discuté avec Volvic de ce que David avait mis en place chez eux, je me suis dit qu’il fallait essayer. David nous a présenté un programme très adapté. Nous avons rapidement été mis en confiance, par les références et par les expériences réussies avec Work’n Fit. Et comme ça a pris rapidement auprès de nos collaborateurs, nous avons continué.

Avez-vous apprécié la relation avec les intervenants Work’n Fit ?

LL : Au début, c’est David qui intervenait. Ensuite, nous avons eu plusieurs coachs, et nous trouvons que les différents intervenants sont vraiment dans l’état d’esprit de Work’n Fit. Il sont à l’écoute, à notre portée, sympas. Ils ont chacun leurs spécificités, mais ils ont un tronc commun qui est très cohérent. Nous sentons bien qu’ils viennent pour faire quelque chose avec l’entreprise, et non pas dans l’entreprise, et ça, c’est sans aucun doute ce que leur apporte David. Quand ils arrivent, ils savent qui nous sommes, ce que nous faisons, il y a une réelle continuité dans les prestations.

AP : Tous les coachs sont très compétents. Ils sont tous top, autant sur l’aspect accompagnement individuel que dans la relation interpersonnelle. Ils s’adaptent vraiment, en fonction de chacun, et c’est ce qui est bien, car c’était une crainte de certains collaborateurs, qui avaient peur de ne pas y arriver. C’est une vraie réussite.

Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans Work’n Fit ?

LL : Ce qui est bien, c’est qu’on progresse. Les groupes se sont formés en interne et petit à petit, il y a un vrai progrès. C’est devenu une activité de réparation et de compensation professionnelle, mais aussi une activité qui nous a permis de tous apprendre dans le domaine du sport. Résultat, je pense que nous faisons tous bien mieux du sport, de l’échauffement, etc. Ça grandit en même temps que nous.

AP : C’est le côté adaptation, continuité, et individualisation. Et les sessions enregistrées sur Facebook, c’est vraiment bien. J’aime bien faire les sessions d’Alexis, je ne les fais pas le vendredi mais le week-end. J’apprécie le fait qu’il y ait une continuité de service alors que nous ne pouvons pas être au bureau en ce moment. Les étirements personnalisés avec Justine, le lundi matin, c’est hyper appréciable. Et de plus en plus de collaborateurs y participent d’ailleurs.

Que feriez-vous si on vous enlevait Work’n Fit ?

LL : On est souvent appelés par des sociétés de Clermont ou d’ailleurs qui nous proposent leurs prestations. Mais nous sommes fidèles à David car nous sommes contents de la prestation, donc il n’y a pas de raison d’en changer. On essaie de proposer de la sophrologie, d’autres choses en complément aujourd’hui. Nous pensons que c’est intéressant de proposer ça à nos collaborateurs. Nous comprenons que tout le monde ne participe pas. Mais cela ne sera peut-être pas les mêmes qui participeront à la sophrologie par exemple.

AP : Ça a eu un autre impact positif, de mon point de vue de RH : cela permet aux gens qui ne se voient pas souvent de se rencontrer. Nous avons deux sites sur Issoire, donc ça nous permet de voir les collègues de l’autre établissement, donc ça crée du lien et ça a un vrai impact positif. Work’n Fit touche plein d’éléments qui créent une bonne résonance.

Et si vous deviez résumer Work’n Fit en une phrase ?

LL : Un partenaire, proche de nous, agréable et efficace.

AP : En tant que RH, je mets en avant Work’n Fit dans mes annonces de recrutement, j’en parle pendant les entretiens de recrutement, et ça intéresse les gens. C’est en train de devenir un élément de la culture d’entreprise, autour de tout ce que nous faisons en matière de QVT, de bien-être pour les salariés, etc. C’est un élément différenciant par rapport aux autres entreprises et c’est un atout en terme de recrutement et d’attractivité.


Bastien Bonnet, coordinateur sécurité au Technicentre industriel SNCF de Nevers-Languedoc

Bastien Bonnet est en charge de la politique de sécurité pour les sites de Nevers, Nîmes et Béziers (au total, 850 agents), où s’effectue la réparation du matériel ferroviaire. Cela concerne tout autant la réparation d’engins entiers que la maintenance d’éléments constitutifs des engins. On y rencontre une multitude de corps de métiers : couturières, chaudronniers, mécaniciens, technicien banc d’essai, manutentions, etc. Les tâches et les problématiques sont donc variées.

Image Technicentre SNCF

Quels sont les défis à relever aujourd’hui dans votre activité ?

Je joue un rôle de conseiller en sécurité auprès du directeur d’établissement. Je veille notamment à l’application de la politique de sécurité auprès du personnel. Nous devons donc faire en sorte que les agents viennent au travail en bonne santé et en repartent en aussi bonne santé. Je travaille donc sur l’amélioration des postes de travail, je surveille l’application des règles de sécurité et je participe aux choix des équipements de protection collectives et individuelles. Mes objectifs sont à la fois la diminution de l’accidentologie mais aussi la diminution de la gravité des accidents du travail. Mon principal défi est donc de traiter les précurseurs pour éviter les accidents du travail.

Comment Work’n Fit vous aide à relever ces défis ?

Work’n Fit permet un accompagnement dans la démarche de l’entreprise visant à améliorer le bien-être au travail. Pour cela, David Léon, le coach de Work’n Fit, interroge les agents pour savoir s’ils souffrent de douleurs. Il analyse les postes pour proposer des améliorations en termes d’ergonomie et une préparation physique avant le début de l’activité, pour réduire les douleurs. Il essaie également de traiter les pathologies au niveau personnel qui peuvent devenir impactantes au niveau professionnel. C’est en cela que sa démarche est différente des autres, qui ne se préoccupent que de la sphère professionnelle : il a une approche véritablement globale au niveau de chaque individu.

Quel a été le fait déclencheur qui vous a poussé à faire appel à Work’n Fit ?

C’est la personne qui occupait mon poste qui a fait appel à Work’n Fit, il y a de cela trois ans maintenant. L’élément déclencheur avait été l’observation d’une augmentation des événements sécurité liés à des douleurs dorsales, des problèmes de gestes et de postures, qui étaient, à l’époque, difficiles à anticiper. Nous avons donc choisi de faire appel à Work’n Fit car David Léon proposait une démarche innovante d’échauffement avant la prise de poste et de maintien en forme, pour réduire les douleurs.

Aviez-vous des craintes avant l’intervention de Work’n Fit et étaient-elles fondées ?

Ma principale crainte était l’adhésion des agents. Au bout de trois ans, le noyau dur de participants, absolument convaincus des bienfaits de la démarche, continue à venir aux ateliers, mais il reste difficile de convaincre les autres, ce qui est d’autant plus compliqué du fait de la taille des sites.

Avez-vous apprécié la relation avec les intervenants Work’n Fit ?

J’apprécie particulièrement la relation avec David Léon, qui maîtrise son sujet, qui sait de quoi il parle et qui sait convaincre les agents. On ressent lors des échanges la passion pour son métier.

Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans Work’n Fit ?

Ce qui me plaît le plus dans la démarche de Work’n Fit, c’est le fait qu’elle englobe les sphères personnelle et professionnelle dans un même objectif. David propose un traitement complet des problématiques auxquelles sont confrontés les agents, il ne cherche pas seulement à trouver des solutions pour améliorer la productivité. Il souhaite véritablement leur bien-être, et les agents l’ont compris et c’est pour cela qu’ils participent aussi volontiers.

Qu’est-ce qui vous plaît le moins ? Que voudriez-vous voir comme amélioration  ?

Au-delà du fait de convaincre davantage d’agents, j’aimerais que les agents qui participent gagnent en autonomie.

Que feriez-vous si on vous enlevait Work’n Fit ?

Si je dis que je me sentirai orphelin, c’est un peu fort, mais sans doute aussi assez vrai ! Les agents me demanderaient aussi pourquoi ils sont privés des interventions de David, qui leur font du bien. Je rechercherai sans doute une prestation équivalente en essayant de trouver aussi bien. Nous avions eu une expérience avec un autre prestataire sur le site de Nîmes dans le passé, qui n’avait pas été concluante. D’ailleurs, cela explique pourquoi les agents de Nîmes étaient plutôt réticents lors de la première intervention de David. Mais ils ont été agréablement surpris et vite convaincus. Il existe une démarche interne sur les gestes et postures : comment soulever un carton, quelle rotation du buste pour effectuer telle tâche, etc. Mais cette démarche reste axée sur le métier et ne prend pas en compte les activités personnelles qui peuvent être impactantes.

Et si vous deviez résumer Work’n Fit en une phrase ?

De très bons conseils, une grande adaptabilité, une immense disponibilité, une force de proposition et d’innovation, du professionnalisme et une démarche innovante.


Jérémie Riou, responsable sécurité à la société des eaux de Volvic

Image interview Jérémie Riou Danond Volvic

Quels sont les défis à relever aujourd’hui dans votre activité ?

Mon activité est confrontée à deux défis majeurs : d’une part, le contexte sanitaire actuel ; d’autre part, la recherche de solutions pour augmenter le nombre de participants aux activités proposées pour réduire les TMS.

En ce qui concerne le contexte sanitaire, nous avons paradoxalement constaté les effets bénéfiques des exercices adaptés à chacun et mis en place par Work’n Fit pendant le premier confinement. À ce moment-là, quand les coachs de Work’n Fit ne pouvaient plus accompagner nos salariés sur place, nous avons observé, par exemple, que les caristes étaient beaucoup plus nombreux à venir à l’infirmerie. Ils se plaignaient davantage de douleurs au niveau du dos qu’avant le confinement, quand les coachs de Work’n Fit pouvaient intervenir au sein de l’entreprise et leur proposer des activités adaptées à leur condition physique, à leur activité quotidienne et à leur santé globale. Le défi est donc de trouver des solutions pour faire perdurer la dynamique insufflée par Work’n Fit dans la prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS), malgré la distanciation et les consignes sanitaires actuelles.

L’autre défi est celui de la participation des salariés aux ateliers de prévention des TMS : elle se fait sur la base du volontariat, et il est nécessaire pour moi de trouver des moyens d’insuffler une dynamique pour encourager de plus en plus de personnes à participer, afin qu’elles constatent les bénéfices des activités proposées sur leur vie personnelle et par conséquent professionnelle, et qu’elles deviennent à leur tour ambassadrices de ces ateliers.

Comment Work’n Fit vous aide à relever ces défis  ?

La plus-value de Work’n Fit se trouve dans l’accompagnement sur le terrain : les coachs de Work’n Fit m’aident à analyser les activités au sein de l’entreprise afin de trouver des solutions pour diminuer l’accidentologie. Par exemple, à l’heure actuelle, notre réflexion porte sur les TMS dont souffrent les salariés qui manipulent les produits, notamment la vérification des packs : Work’n Fit propose des solutions de renforcement musculaire, mais donne aussi des conseils pour améliorer l’ergonomie des postes de travail. L’avantage des coachs de Work’n Fit est leur très bonne connaissance des différents postes de travail, qui leur permet de proposer des méthodes adaptées.

Quel a été le fait déclencheur qui vous a poussé à faire appel à Work’n Fit ?

J’ai fait appel à Work’n Fit dans le cadre d’une démarche globale pour améliorer le bien-être et la qualité de vie au travail mais aussi personnelle des salariés. La société des eaux de Volvic a en effet mis en place différents éléments afin de faire prendre conscience aux employés que leur santé et leur bien-être sont fondamentaux pour que tout se passe bien au sein de l’entreprise. Nous avons demandé à Work’n Fit d’intervenir dans l’entreprise afin d’assurer un accompagnement global des salariés, tout d’abord en tant que coachs sportifs proposant des activités adaptés à la zone de production et aux personnels administratifs. Mais les coachs de Work’n Fit ont rapidement fait évolué leur pratique pour proposer des activités adaptées à chaque tâche et à chaque métier, mais aussi à chaque salarié en fonction de sa condition physique.

Aviez-vous des craintes avant l’intervention de Work’n Fit et étaient-elles fondées ?

J’avais deux craintes avant les premières interventions des coachs de Work’n Fit : d’une part, comment le groupe allait réagir à un coach leur proposant des exercices physiques collectifs ? D’autre part, est-ce que le fait de soumettre les salariés à des exercices physiques n’était pas un facteur qui allait aggraver l’accidentologie sur le lieu de travail ? Mes deux craintes ont vite été balayées. Les coachs de Work’n Fit ont réussi à convaincre les salariés de participer aux activités car ils ne sont pas arrivés en parlant d’eux et en imposant des exercices sportifs : ils ont d’abord pris la peine d’étudier les différents postes de travail et de communiquer avec les salariés afin de leur proposer des activités adaptées à leurs besoins. Et leur charisme naturel de coach a fait le reste ! En ce qui concerne ma crainte de voir les traumatismes monter en flèche en poussant des personnes en mauvaise condition physique à faire du sport, elle a également été vite dissipée. Les coachs de Work’n Fit ne font pas faire du sport, en réalité : ils proposent des exercices de renforcement adaptés à chaque individu, en prenant en compte son état de santé générale. Aucun accident n’a donc été à déplorer pendant les ateliers animés par Work’n Fit.

Avez-vous apprécié la relation avec les intervenants Work’n Fit ?

J’ai non seulement apprécié la relation avec les intervenants de Work’n Fit, mais elle me semble primordiale dans la réussite et le succès de la démarche. Nous avions fait appel auparavant à d’autres personnes pour la prévention des TMS, mais cela n’avait pas fonctionné, car il leur manquait le charisme et la pédagogie des coachs de Work’n Fit pour se faire accepter des salariés.

Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans Work’n Fit ?

Ce qui me plaît le plus dans Work’n Fit, c’est la qualité de la relation avec les différents intervenants. C’est ce que je mets en avant quand je recommande Work’n Fit autour de moi. Ce sont des coachs dans le bon sens du terme, c’est-à-dire qu’ils accompagnent les salariés dans la recherche du bien-être global. Ils effectuent un suivi auprès des salariés de manière naturelle, ils passent dans l’usine ou les bureaux pour demander des nouvelles des personnes qui ont participé aux ateliers ou qui souffrent de TMS, pour leur proposer de nouveaux exercices. J’apprécie cette proximité et cette relation particulière qui s’est tissée avec les différents intervenants. Les salariés connaissent tous les coachs de Work’n Fit et les appellent même par leur prénom !

Qu’est-ce qui vous plaît le moins ? Que voudriez-vous voir comme amélioration ?

Ce qui me plaît le moins n’est pas lié à Work’n Fit, mais à la situation actuelle. Les salariés ne sont pas très « digitaux » et je manque de locaux pour pouvoir poursuivre les séances collectives, ce qui fait retomber la dynamique qui s’était installée avant le premier confinement. J’espère que la situation va s’améliorer pour pouvoir reprendre les ateliers en commun.

Que feriez-vous si on vous enlevait Work’n Fit ?

Je serai bien embêté car je n’ai pas, en interne, les ressources équivalentes en terme de qualité de la relation et de connaissances sportives.

Et si vous deviez résumer Work’n Fit en une phrase ?

Proximité avec les équipes, relationnel et réactivité. D’ailleurs, j’ai particulièrement apprécié que, malgré le contexte sanitaire, les coachs de Work’n Fit continuent à garder le contact et à rechercher des solutions pour assurer des prestations de qualité.

Site de la société des eaux de Volvic.

Pour en savoir davantage sur nos prestations, n’hésitez pas à nous contacter.

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